Bebop-net

Lorsque j’ai voulu créer un blog, je me suis tourné en premier vers Dotclear en partie parce que Caféine venait de migrer dessus et en était très content ; et puis parce que j’avais déjà eu quelques bons retours dessus. C’était il y a bientôt un an.

Depuis j’ai eu l’occasion de mieux le découvrir. Par son interfaces très bien pensée (qui d’ailleurs me manque lorsque je tape des messages sur certains forums), son respect des standards (qui m’avait en partie poussé à le choisir à l’époque), ses nombreux thèmes ainsi que ses nombreux plugins créés par une communauté débordant d’énergie.

Aujourd’hui comme c’est le deuxième anniversaire de Dotclear, et que l’on remerciera jamais assez Vivi (Olivier Meunier). Il a été décidé d’au lieu se focaliser sur ses talents de codeur (auquel il n’aime pas être réduit), de montrer qu’il prenait aussi de très très jolies photos. Celle que j’ai choisi est un peu bateau, mais je vous recommande vivement de faire un tour sur son compte Flickr.

Photo : Olivier Meunier, License Creative Commons

Hop un nouveau thème pour le blog : Promenade. Il sera bientôt disponible pour tout le monde. Enfin pour tous ceux qui utilise Dotclear. Il faut juste me laisser le temps de le terminer.
Certaines personnes auront peut être remarqué que ce thème ressemble beaucoup au design du blog de Karl Dubost. J’aimais bien son design donc je lui ai demandé l’autorisation pour l’adapter sous Dotclear. Et comme il a accepté, voilà le travail. Si vous avez quelques remarques, n’hésitez pas.
Pour l’instant je l’adapte à mon blog en réglant quelques bugs. D’ailleurs j’aimerais bien savoir pourquoi IE me décale un peu mon contenu vers le menu… Je ne comprend pas et ça m’agace… Surtout que cela ne le fait que lorsque l’on regarde un billet en particuliers.
Les photos sous le titre du blog ont été prises par moi il y a bien longtemps (bon ok 4 ans…). En cliquant dessus, vous tomberez sur mon compte Flickr. Pour l’instant il n’y a que deux photos qui tournent, mais leur nombre va augmenter (tout comme les photos de mon compte Flickr). J’ai besoin d’un peu temps, car mon scanner n’arrange pas les photos alors je suis obligé de les rattraper sous Photoshop. Bref c’est long et chiant donc je fais ça petit à petit.

Le choc est un peu violent après Dune est son univers rigoureux mais j’avais besoin de lecture en attendant de mettre la main sur les Enfant de Dune (d’ailleurs c’est bon je l’ai juste à côté de moi). J’ai donc découvert entretemps Douglas Adams et son univers complètement absurde. Et comme le dirait Arthur Dent (un personnage du livre), je me sens : Comme l’université après réduction des crédits : j’ai perdu une partie de mes facultés.

J’avais jamais lu un livre avec autant de non-sens et d’absurdités. La plupart du temps on jetterais le livre directement à la poubelle pour ces simples raisons. Sauf pour Le Guide du Voyageur Galactique, car le livre repose justement sur ça. Premier volume, de la première trilogie à cinq tomes…

Tout commence avec la destruction de la Terre afin de constuire une nouvelle voie express intergalactique. Cependant un humain, Arthur Dent, va survivre grâce à son ami Ford Perfect, un extra-terrestre qui a fait son coming out à Arthur, quelques minutes avant la destruction de notre bien aîmé planète. Nos deux personnages se sauvent in extremis en faisant de l’auto-stop « spatial ».

J’en dis pas plus car les révélations du livre sont très interessantes. Vous découvrez ainsi qu’elles sont les 3 espèces les plus intelligentes sur Terre, qui a fabriqué la Terre et dans quel but. Vous aurez aussi la réponse à la Vie, l’Univers et tout le Reste. Vous apprendrez ce qu’est un Babel Fish. Et d’autres choses toutes plus utiles les unes que les autres, condensées dans ce fabuleux livre qu’est le Guide du Voyageur Galactique. Enfin là je parle du vrai guide, pas du livre de Douglas Adams. Oui on s’y perd rapidement… Mais bon : Ne paniquez pas!

…, Caladan, Bene Gesserit, Missionaria Protectiva, Révende Mère, Gom jabbar, Goûte poison, Bible Catholique Orange, Mentat, CHOM, Ver de sable, Epice, Fremen, Distille, Fremkit, Marteleur, Krys, Sietch, Muad’Dib, Jihad… Arrakis…

Je viens de terminer un chef d’oeuvre, que tous ceux qui l’ont déjà lu, auront reconnu par les quelques mots énoncés avant, qui aident à replonger en quelques secondes dans le monde d’Arrakis. Je parle de Dune (et aussi du Messie de Dune par la même occasion, car les deux livres étaient réunis dans une même édition). Et je pèse mes mots quand je dis que c’est un chef d’oeuvre. Je suis pas le genre de personne à dire que ce que j’aime est « culte » ou qu’il s’agit d’un « chef d’oeuvre » toutes les trentes secondes.

Le style narratif est vraiment très bon, fourmillant de détails sans pour autant étouffer le lecteur comme un Balzac ou un Jules Vernes. Frank Herbert ne va pas dire que ses personnages se trouvent dans une bibliothèque, mais il va plutôt décrire la pièce. Nous guidant ainsi dans la représentation que nous nous en faisons et qui amènera à la fin à la conclusion : c’est une bibliothèque. Mais aucune autre image ne se sera ainsi imposée à notre esprit. On reste juste avec celle que le livre voulait nous transmettre.

Dune a beaucoup travaillé mon imagination, et j’en garde des images très fortes. Je ne suis pas prêt de voir le film, qui à ce qui paraît n’est pas génial. Mais l’histoire est tellement grandiose qu’a moins de faire une trilogie, ça n’en vaudrait pas la peine. Et je parle que de Dune. Mais bon une trilogie n’est pas viable pour autant car le livre ne regorge pas d’action à chaque chapitre.
On sait bien que maintenant le public veut du spectacle, et les producteurs l’ont compris. Donc il n’y aurait sûrement pas de budget pour un film sur Dune, Surtout qu’il seraît phénoménale (quoique avec les images de synthèse maintenant on devrait pouvoir s’en sortir, du moment que l’on ne se repose pas que sur ça comme on a trop tendance à le faire maintenant.). Bon je m’écarte un peu du livre. Mais il m’a tellement marqué, qu’il risque de rester longtemps le meilleur livre que j’ai jamais lu.

Par le style narratif comme je l’ai déjà dit ; mais aussi par son histoire, qui nous fait voyager, rêver, et qui est toute à la fois fantastique et si réaliste par son emprunt à notre monde.

Je suis en train de voir à l’instant même sur Wikipédia que le Cycle de Dune est constitué de six livres. J’aurais tendance à craindre que tous ces livres aient servi à tirer le plus possible sur le filon et que donc leur qualité pourrait laisser à désirer ; mais je sent que je vais m’empresser de les acheter.
Je veux savoir ce qu’il arrive à ce monde si fascinant.

Frank Herbert est un grand, très grand écrivain. Il m’a tué avec Dune. Jamais un livre ne m’avait fait aussi forte sensation.
Je n’aurais qu’un conseil à faire à ce qu’il ne l’ont pas déjà lu. C’est de le rajouter sur votre liste de lecture. Ce livre est incontournable.

Vous pourrez trouver dans Le Nouvel Observateur de cette semaine (28 juillet au 3 août) une interview très interessante de Tsuyoshi Hasegawa (directeur du Centre d’Etude de la Guerre Froide à l’université de Santa Barbara, Californie). Ce monsieur vient de publier Racing the Ennemy. Dans son livre il explique que Truman, Staline ainsi que Hirohito aurait pu éviter le lancement des deux bombes atomiques. Et qu’elles n’étaient pas innévitables comme on nous le répète et qu’elles n’ont pas non plus apportées la reddition du Japon comme aime bien le raconter nos livres d’histoire.

La première chose que l’on apprend c’est que l’histoire a été re-écrite. Truman n’a pas lancé la bombe pour sauvé la vie de 500.000 GI, surtout que l’estimation des pertes qu’on lui avait apporté n’en mentionnait que 31.000. Truman avait en fait pour idée de lancer les bombes et d’ensuite envahir le Japon.
C’est aussi faux, lorsque l’on nous dit qu’il a donné l’ordre de lancer les bombes qu’après avoir eu le refus de capituler du Japon le 26 juillet 1945. Son ordre de lancer des bombes datait du 25 juillet. Remarquons aussi au passage qu’il a pris la décision seul sans faire une réunion pour peser le pour et le contre de l’utilisation de l’arme atomique.
Kyoto a échappé de peu au premier lancé. Hiroshima l’a remplacé dans le rôle de première victime de l’arme atomique car elle était moins connue et que donc elle risquait moins de tacher l’image des Etats Unis.
Quand à Nagasaki, les généraux américains étaient tous d’accord sur le fait qu’il fallait lancer deux bombes sur la Japon : pour affirmer la puissance de l’arme atomique aux yeux du monde et montrer au passage que l’US Air Force en avait plusieurs en réserve. Nagasaki n’était qu’en troisième positions sur la liste. Cependant, le jour du lancé, la deuxième ville, Kokura, avait une méteo trop mauvaise. Au passage soulignons que Truman a préservé Hiroshima et Nagasaki à partir de mai 1945 de tout bombardement, ceci enfin de mieux montrer la puissance destructice de l’arme atomique.
Truman s’est empressé de lancer la bombe afin de prendre de court Staline qui avait prévu d’attaquer le Japon le 15 août 1945.

Ceci nous amène donc au rôle de Staline. Staline avait pour idée de récuperer l’Asie ainsi que Hokkaido. Il lui fallait donc amener ses troupes d’Europe en Asie. Et il fallait alors que la guerre continue. Ça tombait bien. Les japonais ne voulaient pas traiter directement avec les américains, croyant qu’ils obtiendraient plus en passant par un intermédiaire. Et comme ils avaient signé un pacte de non-agression avec Staline, ils se sont tourner vers lui. Les russes en ont alors profité pour faire trainer les relations diplomatique pendant un mois ceci grace à la naiveté du gouvernement japonais.

En ce qui concerne Hirohito, la légende est fausse, cet empereur se tenait très au courant des évolutions de la guerre et ils appuyaient les décisions. Cet homme était prêt à sacrifier des dizaines de villes sous les bombes atomiques afin de guarder son pouvoir. D’ailleurs la destruction de Nagasaki n’a eu aucun echo dans le conseil des ministres japonais. Ce qui a motivé Hirohito a capitulé c’est la menace communiste. Il esperait quand ce rendant au américains il garderait sa place, et ce fût le cas.

Tout ce que l’on apprend est très révoltant, d’autant plus que juste avant cette interview, il y a un article avec des témoignages de hibakushas (irradiés). Des personnes défigurées, avec des maladie inconnues, qui n’ont eu droit à un statut il n’y a que très peu de temps au Japon. Ils n’ont reçu aucun soin, les américains ont juste prelevé des échantillons pour leur expériences. Et surtout la peur qu’ils provoquent, et qu’ils leur obligent à mentir pour ne pas se faire rejeter d’un peu partout. J’ai envie de terminé avec le témoignage Hiroko Hatakeyama qui a confié au journaliste du nouvel obs en pleurant :

Parce que vous êtes étranger, je vais vous révéler quelque chose que je n’ai jamais dit à personne au Japon : ma fille vient d’accoucher d’un enfant à 6 doigts. Est ce dû aux radiations que j’ai reçues il y a soixantes ans? Je ne peux m’empêcher de le penser et de me sentir coupable.

Ahah! Je viens d’essayer une petite merveille. « Mais qu’est ce donc ? » me demanderez vous « La démo de Farenheit ? » Oui euh non, ça pourait très bien être la démo de Farenheit (à essayer d’urgence) mais je pensais plutôt à DOSBox, un émulateur de Dos.
Oui je sais le dos c’était l’horreur et on est bien content de s’en être débarrassé. Mais comment je fais pour jouer au jeu que j’adorais lors de Windows 3.11 et Windows 95? C’est là que DosBox est utile. D’ailleurs vous pourrez trouver sur leur site une liste des jeux supportés.

Et c’est un petit bonheur! J’ai essayé avec Fade to Black (à défaut d’avoir retrouver Ascendancy) et c’est passé comme une lettre à la poste. Génial!
Ça m’a permit ainsi de re-essayer ce jeu que j’avais trouvé bien dur petit, parce qu’il fallait des mains de poulpe. Les touches ne sont pas les unes à côté des autres mais correspondent au nom de l’action : J pour Jump, S pour Save, L pour Load, V pour Viser (vive le jeu à moitié traduit ;) ) ctrl pour Tirer. C’est dur dans le feu de l’action de se positionner en face de l’ennemi, viser, diriger son arme avec le pavé directionnel et tirer, tout ça rapidement bien sûr, ce serait trop facile sinon.
En tout cas ça m’a bien fait plaisir d’y rejouer un peu. Il faut vraiment que je retrouve Ascendancy car j’ai passé des heures sur ce jeu de stratégie spatial au tour par tour avec des aliens. Et depuis que j’ai installé DosBox, j’ai qu’une idée c’est d’y rejoué.

Vous avez déjà du voir ce clavier qui a fait le tour du Web vitesse grand V (d’aileurs j’adore ça avec Internet). Je dois vous avouer que ce clavier me fait rêver. Pourvu qu’un constructeur trouve ce concept intéressant…

Le clavier est un périphérique qui n’a quasiment pas évoluer au cours du temps. On s’est juste amuser à faire varier sa forme et le type des touches (avec leurs résistances, leurs tailles etc…). Ce n’est pas si mal que ça, puisque ça a permis d’arriver à mon clavier que j’adore. Mais tandis que, par exemple, les souris gagnaient en complexité et précison (il suffit de prendre l’exemple de ma MX 1000 avec son capteur laser, le fait qu’elle soit sans fil, et ses 8 boutons…), la clavier faisait un peu pitié.

Et dire que l’on nous présente un clavier utilisant les dernières technologies, et s’adaptant au besoin de l’utilisateur! Bravo pour ceux qui y ont pensé, car c’est très ingénieux. Fini la tonne de raccourci à connaître pour accèder rapidement à un outil qui se planque parfois derrière 4 clics de souris, et fini la galère lorsque l’on bascule son clavier dans une autre langue. La correspondance Qwerty-Azerty la plupart d’entre nous s’y sont habitué mais pour d’autres langues c’est parfois trop subtile (clavier allemand et compagnie qui change principalement l’emplacement de la ponctuation avec un clavier français) ou trop compliqué si on bascule en japonais. Tiens d’ailleurs c’est d’autant plus formidable pour les claviers japonais car pour basculer entre l’alphabet romain et les caractères japonais, il faut appuyer sur une trouche qui se trouve à l’emplacement du ². Ce serait génial que le simple fait d’appuyer sur cette touche change l’affichage de tout le clavier. Evitant de surcharger les touches sous les symboles, les rendant alors trop difficile à déchiffrer.
Il me tarde de voir ce clavier débarquer.

Et dire que pendant ce temps, j’ai un ami qui s’amuse à repeindre ses touches pour faire ressembler son clavier au Das Keyboard. Alalalah je vous jure…

Je vais enfin vous parler de Lost (je classe ça dans ma catégorie Films car cela reste après tout filmé…). J’ai terminé de regarder cette série il y a 6 jours. J’ai enchaîné tous les épisodes mercredi, jeudi et vendredi dernier. Ça faisait longtemps que je n’avais pas été accro à une série comme ça. Alors d’accord, ce n’est pas la série du siècle. On y trouve des erreurs de raccord (vous pouvez en trouvé un en regardant l’épisode 2 lorsque Kate se nettoie dans la mer, observez ses cheveux) et le scénario avance chaotiquement. Mais cela reste quand même une très bonne série. Et ce n’est pas tous les jours qu’un produit télévisuel arrive à me scotcher.

Lost est l’un des plus gros succès du moment. La saison 1 fut un carton aux États-Unis. Et dès la fin de la première saison, Lost s’est très vite retrouvé dans d’autre pays. La preuve avec la France, où TF1 diffuse la série alors que l’on se trouve actuellement entre la saison 1 et 2 aux États-Unis. (c’est rare que ce soit aussi rapide)
J’avais eu de bon échos de cette série lors de sa diffusion aux States. Cependant je ne m’y étais pas intéressé, car comme dit plus haut, c’est rare qu’une série me plaise vraiment. Mais lorsque la série a commençé a être diffusé sur TF1, je me suis dit que vu le phénomène, je devais quand même essayer de voir les premiers épisodes.
Il ne m’a fallu que 3 épisodes pour être accro!

L’épisode 1 m’a vraiment plu. J’ai adoré le côté réaliste de la scène du crash, mention spéciale pour le moteur qui continuait à tourner. Et puis lors du premier épisode, on a pas vraiment le temps de s’ennuyer.
Je rappelle par contre que ce que l’on voit dans la série, un avion qui se sépare en 3 morceaux en plein vol, est quasi impossible. L’avion reste toujours le moyen de transport le plus sûr au monde. Toutes les précautions prises lors de la réalisation de l’avion, et de son entretien rend vraiment ce type d’accident au niveau d’un délire de scénariste. Les principales causes de crash ces dernières années étaient dû à la contrefaçon de pièce et aux erreurs de pilote. D’ailleurs je vous recommande au passage le très bon roman de Michael Crichton (le monsieur qui a écrit Jurassic Park), Turbulence.

Cette série est la plus chère à avoir jamais été réalisé. Et tant mieux, car cela nous donne une série de très bonne qualité, avec un beau décor (c’est tourné à Hawaii) et de bons acteurs. Au passage, j’adore le personnage de John Lock, et Emilie de Ravin est vraiment très mignonne. (bien que les brunes soient plus mon type, l’exception qui confirme la règle)
Je vais pas m’amuser à rêveler l’histoire, mais plutôt parler de certains points.

Je vous préviens qu’à partir de maintenant, il se peut que je révèle quelques bouts de l’histoire, ne sachant pas où en sont les épisodes en France.

Deux épisodes sont vraiment important pour comprendre l’histoire de la première saison à mon humble avis : Special et Numbers. Le premier est tournée autours de Walt. Le père adoptif de Walt dit à un moment à son père naturel que Walt est spécial. (souvenez vous de l’oiseau qui meurt contre la fenêtre alors que Walt lit un livre sur les oiseaux) Je pense que les ours polaire sont dû à Walt. La premier ours polaire fait son apparition lorsque Walt lit le comic espagnol où on y voit… un ours polaire. Et puis il est important ce gamin vu qu’il se fait kidnappé au dernier épisode (j’avais prévenu que j’allais révêler des gros bouts de l’histoire! Bien fait pour ceux qui n’ont pas fait attention à l’avertissement gniark gniark! Bon vous pouvez continuer maintenant je révèlerais rien de plus important)

Pour Numbers, les nombres ont leur importances, nul doute la dessus. On les retrouve partout et à tout moment. Aucune logique (au moins Mathématique) à cette suite de nombre (4 8 15 16 23 42). Suffisament de personnes se sont cassé la tête dessus pour le prouver (faites une recherche Google). Mais ces nombres et le caisson seront avec Walt, les élements principaux de la saison 2. J’en suis sûr.

Et pour terminer, sachez qu’il est possible d’avoir un tout petit mais tout petit aperçu, bon ok c’est un trailer, de la saison 2. Et comme je suis super sympa je vais vous dire comment faire.
N’avez vous jamais eu la curiosité de rechercher sur Internet des informations sur certains éléments de la série? Taper Drive Shaft Band sur Google et vous tomberez sur le faux site de fan de Drive Shaft, le groupe de Charlie. Mais ce qui nous intéressent vraiment est le site de la compagnie aérienne. Recherchez sur Google (ou ailleurs après tout vous êtes libre) Oceanic Airlines. Vous devriez alors tomber sur ce site.
On apprend que la compagnie a fermé et on a droit a plein d’erreur 404 (document non trouvé). Comment en tirer quelque chose? Regarder la recherche de vol en première page. Nous ne savons rien du vol de nos amis les disparus, mais vous ne trouvez pas un peu byzarre les listes déroulantes pour les passagers? Il n’y a rien dedans. Et il y en a 6. Si vous y rentriez les fameux nombres ? 4 8 15 16 23 42
Ooooh mais ça fait quelque chose. On tombre sur le vol qui s’est perdu. On va à nouveau réutiliser les nombres. En cliquant sur les bonnes rangés dans l’ordre. Ça vous débloquera le trailer de la saison 2.
Oui je sais on voit rien à part des gens courir, mais bon je rapelle que c’est un trailer.

Si vous voulez faire plus mumuse avec le schéma des sièges du vol. Cliquez un peu n’importe comment sur les sièges, cela mettrait en surbrillance aléatoirement les sièges des personnages principaux. En cliquand dessus, vous aurez droit à des petit trucs ; qui me laisse supposer qu’il faudra se méfier de John Lock, que Claire va détester Charlie (car il va replonger dans la drogue), que le doc aura des problème d’alcool (?) et qu’ils vont plus explorer l’ile au lieu de se laisser bronzer sur la plage…

Je suis allé m’inscrire ce matin à Cergy Pontoise pour mon DUT. Ça m’a prit une petite heure sur place. Le plus long étant de remplir le dossier, car ensuite pour la saisie informatique, et récupérer ma carte d’étudiant ce fut très rapide. Aucune attente. C’est très appréciable. Ça a le mérite de me changer du lycée et son organisation plus que bancale. Ainsi je connais aussi ma date de rentrée : le 8 septembre (je devrais recevoir un courrier plus tard me précisant l’heure). Ça va comme date. Surtout lorsque je la compare avec celle d’un ami rentrant à Epita l’année prochaine et qui lui commence le 26 aout si je ne me trompe. (Mouhahaha!)

Pendant que j’évoque les cours… J’ai vu hier cette vidéo qui m’a bien impressionné. Cela semble très intuitif, bien pensé et déjà fonctionnel. Bravo aux chercheurs de l’université de Swansea au Pays de Galle qui semblent avoir pensé aux facilités de raisonnement lors d’un calcul. Qu’est ce que j’aurais pas donné cette année pour avoir ce système sur un palm au lieu de ma TI… Ecrivant à toute vitesse avec mon stylet comme si c’était une feuille de brouillon. On reste concentrer sur notre raisonnement. On ne perd pas ne serait ce qu’un demi seconde à réflechir sur quelle bouton on va appuyer sur la calculatrice. C’est le rêve. Je crois vraiment en ce système. Et puis j’ose pas imaginer ce que les élèves auront dans 10/20 ans pour s’aider dans leurs calculs…

Bien sympa la soirée d’hier. On a mangé dans une pizzeria où les profs de notre lycée font leur pré-rentrée dixit mon prof d’electro. Donc en faite, lorsque l’on croît qu’ils sont déjà en train de bosser, ils se remplissent la panse. Je vois le genre… ;)
On a aussi appris au passage que si les profs revenaient toujours en retard dans le LEP après la pause (jusqu’à une heure de retard une fois…) c’est parce qu’ils ont un jeu débile. Le premier qui a terminé son café et qui se lève doit tout ranger. Il vaut mieux éviter de raconter ça au parents si on est encore lycée, bien que personnellement je trouve cela excellent. :)

Après la pizzeria, on est allé s’amuser au bowling, où je les ai tous exploser. (gniark gniark :D) Enfin pour la première partie, car pour la deuxième, les scores n’avaient pas été remis à zero donc j’avais conservé mon avance. Je suis pourtant pas un joueur de Bowling régulié. Je n’y avais joué qu’une seule fois avant celle là, dans la banlieue de Toronto (Canada) lors d’un voyage de 3 semaines dans une famille d’accueil pour améliorer mon niveau d’anglais, il y a 4 ans. Mais je m’étais déjà bien débrouillé à l’époque. Je ne trouve pas le bowling tellement compliqué, ou alors c’est tous ces films américains qui m’ont conditionné. D’ailleurs j’ai hésité à faire sembler de lêcher la boule, comme Jesus dans The Big Lebowski. Mais je n’étais pas sûr que tout le monde comprenne la référence.
Enfin c’était bien sympa de passer un peu de temps avec ce prof, car il n’y a que peu de chance que je le croise maintenant.