Bebop-net

Ce blog n'est plus maintenu. J'ai décidé de créer un nouveau site web et je vous invite à le visiter à l'adresse http://regagnon.com.


Archive pour septembre, 2005

Alors que je suis tout juste en train d’apprendre à utiliser le logiciel Flash, je suis tombé aujourd’hui sur ce site. J’adore la navigation. Et le travail de cette société est excellente. Je vous conseille de jeter un coup d’oeil à la pub télévisé de Visa « Shoes » et de regarder les « Side Effects » du nettoyant Gain.
A visiter avec une connexion haut débit pour bien en profiter.

Besoin de Japon

J’ai terminé ce week-end Besoin de Japon, un livre de Jean François Sabouret, qu’avait recommandé il y a quelque temps Bertrand sur son blog.

Jean François Sabouret est reconnu en France comme un des plus grand spécialiste du Japon, où il a vécu pendant plus de 30 ans. Il a déjà écrit plusieurs livres sur le Japon afin d’expliquer cette société, cette civilisation qui nous échappe. Dans ce livre, il essaye de nous faire comprendre pourquoi il aime ce pays.
La première partie du livre est constituée d’anecdotes et d’explications. Un Japon humain et réaliste qui a souvent bien du mal à arriver jusqu’en France. Alors que la deuxième partie s’interesse à la civilisation Japonaise.
Son approche est très intelligente. Il nous fait découvrir pourquoi on peut être émerveillé sur des banalités de la vie quotidienne japonaise et ainsi apprécier le Japon dans son ensemble. Mais il n’oublie pas pour autant d’essayer d’expliquer cette culture à l’opposé de la notre.

Je n’ai découvert que peu de chose par cette lecture, à part la partie humaine. Mais ce fut un réel plaisir de lire ce livre, bien écrit et si vivant. Je le conseille à toutes personnes un peu ouverte d’esprit qui seraient interessées de découvrir un Japon qu’elles n’auraient peut-être jamais imaginées.

Les nouveaux liens

Certains d’entre vous, l’ont déjà sûrement remarqué. Je suis en train d’agrandir mon Blogroll petit à petit. Je vous propose donc de vous parler vite fait des sites qui ont été rajoutés.

  • David : David, photographe professionnel avait depuis quelques années un site sur la Japon où il montrait ses photos et publiait quelques articles (lejapon.fr). Il a ouvert depuis quelques temps son blog, où il publie à un rythme beaucoup plus rapide quelques unes de ses photos et des petits articles explicatifs. Blog très sympatique, où il a déjà été possible de récuperer certaines de ses photos comme fond d’écran.
  • Monsieur le Chien : Premier blog BD a rentrer dans mon blogroll, le chien m’a plu tout de suite. Ses planches sont toutes à fait correctes et je prend beaucoup de plaisir à lire chaque jour la nouvelle planche. (Un conseil, commencé par le début)
  • flickr memories : c’est le type de blog qui n’en ai pas vraiment un mais que j’adore. Oliver poste sur ce blog, les photos qui l’ont marquées lors de ces pérégrinations sur flickr. Bien pratique pour découvrir des photos superbes et des artistes vraiment talentueux, car avec le nombre d’utilisateurs de flickr, c’est loin d’être simple.
    Tiens d’ailleurs je me permets de parler de mon album flickr qui ne s’est toujours pas agrandi. Je sais, c’est une honte. J’avais promis de rajouter d’autres photos de mon voyage au Canada. Cependant mon scanner est en train de rendre l’ame. Et que j’ai peur que scanner toutes mes photos accelère sa mort. Je ne voudrais pas me retrouver avec un scanner lessivé lorsque j’aurais besoin de faire en urgence une photocopie d’un document officiel.
  • Emob : Voici le blog d’un petit groupe qui veut monter une société de e-learning (comprendre formation multimédia). Des infos sur la création de leur société, des podcats sur l’actualité des logiciels et des tutoriaux sous forme de vidéos (il n’y a rien de mieux comme forme de tutorial). Et tout ceci, très bien fait.

Lost Saison 2 Épisode 1

Pour ceux qui n’auraient pas la patience d’attendre l’été prochain pour savoir si la saison 2 tient ses promesses ; voici une petite description de l’épisode 1 de la saison 2 de Lost, qui a été diffusé hier sur la chaîne abc.

Je vais en gros raconter l’épisode. Donc si vous ne voulez rien savoir avant de voir les images, vous pouvez arrêter votre lecture ici.

Je commence par le plus important. Oui, on sait ce qu’il y a sous l’écoutille.
L’épisode commence avec un gars qui se lève, fait de la gymnastique, prépare son petit déjeuner, écoute un vynil ; tout ça dans ce qui semble être un appartement issu de la fin des années 70. D’ailleurs pour confirmer le tout on le voit taper une ligne de commande sur un vieille ordinateur datant du début des années 80 (je ne vais pas m’amuser à vous donner un nom car on en voit trop peu pour que je puisse déterminer son petit nom). Bref il vit sa vie jusqu’à une explosion faisant tomber de la pouissère du plafond. Notre gars vit donc dans le bunker sous l’écoutille. L’explosion le met en panique. Il termine de s’injecter une dose d’un produit (avec une de ces sorte de pistolet-seringue). Il s’équipe en arme et prépare plein de petits appareils qui semble être des cameras.
Après cette scène nous retrouvons notre petit groupe qui a fait sauter l’écoutille. Les avis sont partagé. Hurley et Jack veulent retourner vers le groupe, tandis que Locke et Kate veulent explorer le bunker. Pendant leur petite discussion, ils examinent l’écoutille. Dessus est marqué : quarantaine. (notre bonhomme dans le bunker porterait t’il une dangereuse maladie? D’où les injections et les morts dont a parlé Rousseau? on tient une piste) Au final, ils se mettent d’accord pour retourner vers le groupe.

On a droit pendant l’épisode à des flashbacks sur Jack. Lorsqu’il était chirurgien et qu’il travaillait avec son père. Les flashbacks sont axés sur une de ses patiente paralysée à cause d’un accident de voiture dont il est persuadé qu’il ne pourra jamais la sauver. La patiente en question, c’est la fille qu’il épouse dans un des flashbacks de la saison 1. Après une opération pour l’arranger, il va faire des aller-retour dans les tribunes d’un stade pour se vider la tête. Cela lui donne l’occasion de discuter avec un homme qui courrait comme lui dans les tribunes. Ils discutent un peu. On apprend que l’homme était médecin. Jack lui parle de ces remords. D’avoir promis à Sarah de la soigner alors qu’il sait qu’il ne peut pas. L’homme lui dit de croire au miracle et puis repart. Jack retourne auprès de Sarah. Elle se réveille et… Oh miracle! Elle n’est plus paralysée. C’est le bonheur.

Le groupe resté au camps est très agité. Charlie répète à tout le monde qu’il n’y a pas « d’autres », que la fumée était juste un stupide feu et qu’il n’y avait personne. Shanon a réussi à perdre Vincent, le chien de Walt. Elle décide alors de partir à sa recherche en pleine nuit. Sayid l’accompagne. Ils aperçoivent Vincent, mais dès qu’ils s’approchent de lui, il se débine. Shanon se retrouve perdue et seule. Elle se met à entendre les chuchotements, et elle voit Walt détrempé. Puis plus rien.

Nos exploseurs d’écoutille arrivent au camps. Jack raconte vite fait ce qu’il c’est passé (comme d’hab… ils en disent le moins possible) et il decide de rester au camps pour le moment. Tout le groupe est tendu, avec ce que raconte Charlie, Shanon et Jack ; tout le monde est agité. Locke qui en a marre d’attendre, décide de descendre dans l’écoutille. Il prend des cables et se tire. Kate le rejoint un peu plus tard.

Kate descend dans le bunker tandis que Locke l’aide descendre en faisant circuler la corde. Mais ça se passe mal. Les arbres qui retenaient la corde lachent et Kate descend à toute vitesse. Locke la retient in extremis mais en se blessant bien les mains sur les cables. Soudain Kate panique et la lumière très vive débarque. Locke se retrouve encore une fois émerveillé, il cherche à voir Kate mais rien. La lumière s’éteins. Il remonte la corde, Kate n’est plus au bout.

Jack qui doit s’en vouloir d’avoir laisser partir Kate sans l’accompagner prend un flingue et par rejoindre Locke et Kate à l’écoutille. Mais lorsqu’il arrive, il n’y a plus personne. Il descend le long de la corde. En explorant les galeries, ils voient des chaussures (sûrement celles de Kate), un graffiti avec le nombre 108 (certains pensent que c’est le nombre suivant dans la suite 4 8 15 16 23 42, c’est peut être vrai alors). Il passe à côté d’une paroi qui semble avoir un gros champ électromagnétique derrière (sa clef de la valise des flingue se lève attirée par le mur). Mais son exploration se retrouve arrêtée par de la musique et de la lumière qui le fait rentrer dans une grande salle de la forme d’une demi géode. A l’interieur plein de baies d’ordinateur à bande et puis celui de l’introduction. Jack s’apprête à taper quelque chose, mais Locke le lui déconseille.
Jack pointe son arme sur Locke en lui demande où se trouve Kate. Locke lui réponde qu’elle va bien tandis que l’on voit appaître un flingue juste à côté de son cou (le cou à Locke).
Discussion violente entre Jack et celui qui menace de tuer Locke. Le premier veut savoir comment va Kate alors que le seconde veut que Jack baisse son arme. L’homme se place derrière Locke (il était caché depuis le départ par le mur) et menace une dernière fois de le tuer. Jack reconnaît alors l’homme avait qui il avait parlé de ses problèmes dans le stade.

Voila un épisode très interessant afin de nous accrocher pour toute la seconde saison. On peut même esperer que l’histoire va avancer.
Bon bah c’est reparti pour un an!

Aujourd’hui, le mercredi vingt et un septembre de l’an deux milles cinq, Bebop a enfin pu utiliser Mac OSX.
Il ne portera plus jamais le même regard sur Windows XP…

Opera sans Pubs! (pour de bon)

Il y a environ 3 semaines, pour fêter les 10 ans d’Opera, il avait été possible de recevoir un code désactivant les pubs. Cependant cette opération ne durait que la journée d’anniversaire.
Et bien que tous ceux qui n’avaient pu récuperer le code à temps se réjouissent. Opera devient enfin gratuit et sans publicités pour de bon. Allez sur le site officiel pour récuperer ce très bon navigateur (personnellement je reste avec mon Firefox).

Dionysos : Monsters in Love

Je connaissais Dionysos de nom depuis un moment. Mais maintenant j’ai enfin écouté un de leurs albums : Monster in Love, leur tout dernier.

Je vais commencé par décrire le packaging. La boîte est en carton, dépliable. Les paroles sont imprimées sur du papier craft. Le tout est décoré par de nombreux dessins très sympa. Le CD contient 16 chansons (plus une dernière mais peu cachée). Vous pourrez aussi trouver dans la boîte un DVD, contenant : deux clips, l’enregistrement d’un concert (celui du 15 aout 2004 à La Route du Rock de Saint Malo), un documentaire, et quelques autres vidéos. Tout ça, pour la modique somme de 16€! Oui, vous m’avez bien lu : 16€, comme pour 1€ par chanson et le reste gratis.
Ohé, les géants de l’industrie de la musique (vous avez remarqué comme c’est déplaisant à entendre industrie de la musique?), vous voulez lutter contre le piratage? Je parle de lutter efficacement, pas avec des solutions qui payent peu comme faire des procès à l’aveugle et nous imposer des taxes sur tout ce qui est capable de stocker des données. Faites comme Dionysos. On en a marre d’acheter un album qui se résume à une pauvre boîte en plastique (dire que la plupart du temps on a droit qu’à des jewel box, même pas des super jewel box…), un CD et un booklet se trouvant en fait être une feuille ; alors qu’on est capable de faire aussi bien à la maison.

J’aurais très bien pu me contenter de la boîte. Cependant j’ai voulu aller un peu plus loin en écoutant au moins le CD. A priori j’ai fait le bon choix.
Les mélodies sont géniales, douces bien que le rock n’est jamais très loin. Les paroles sont excellentes, décalées et drôles par les jeux de mots à foison. Et puis les chanteurs savent chanter (ne rigolez pas c’est rare de nos jours…). C’est d’autant plus remarquable par la prise de son très pure. On aurait presque l’impression de les avoir à côté de nous. Aucun voir très peu d’effet sur les voix (merci, ça change!). Je me retrouve envouter par cet album. Je sens que je vais bientôt lorgner sur le reste de leur discographie.

Test de WordPress : Comparatif avec DotClear

Dans le petit monde de la blogosphère, il existe un tas de logiciel pour publier vos billets. Cependant si on regarde parmis les gratuits en license libre. Il n’y en a que deux qui se distinguent : DotClear et WordPress.
DotClear, de par son origine française (Olivier Meunier), c’est surtout développé du côté francophone. Par contre au niveau mondial ou plus simplement anglophone, WordPress c’est imposé depuis longtemps (étant d’ailleurs antérieur à DotClear).
Personnellement, je suis passé à DotClear car tous ceux qui l’avaient testés en disait beaucoup de bien (c’était lors de la 1.0, il y a un an). Donc contrairement à mes habitudes, je n’avais pas testé différents outils de blog pour me faire un avis.
Je me rattrape donc maintenant en testant WordPress. Pourquoi maintenant? Et bien disons que j’ai du temps libre et que ça fait un bout de temps que je lis Binary Bonsai, le blog de Michael Heilemann, auteur du très connu thème Kubrick (thème par défaut de WordPress. Il y a aussi eu des adaptations pour quasiment tous les outils de blogs) et que son projet K2 m’intrigue.
Je crois que c’est bon pour l’introduction, rentrons dans le vif du sujet.

Version de test : WordPress 1.5.2 et DotClear 1.2.1

Les pré-requis :

Les deux logiciels ont quasiment les même pré-requis. Ils ont besoin tous les deux de PHP 4.1 au minimum. Et pour MySQL, DotClear se contentera d’une version 3.X tandis que WordPress demandera au minimum une version 3.23.23.
Les deux dossiers ne sont pas très lourd (environ 1 Mo pour WordPress et 1 Mo 30 pour DotClear). Vous n’aurez donc pas besoin d’un très grand espace web. Peut-être quelques Mo en plus si vous êtes friand de Plug-ins, thèmes, et que vous hébergez les photos qui sont postés dans vos billets.
En parlant des billets, garder en tête que le texte est stocké dans votre base de donnée.

Installation

Le record de rapidité pour l’installation revient à WordPress : une étape (vous devez donner le nom du blog et votre email).
La deuxième étape étant la création des tables, et il vous est juste demandé de noter le mot de passe donné. J’aime pas trop que l’on ne puisse pas choisir son login et son mot de passe dès le départ, mais il doit y avoir une bonne raison et de toute façon il est possible de changer par la suite.
Par contre cette rapidité à un prix : l’édition d’un fichier PHP pour rentrer ses informations de base de donnée. Ce n’est pas grand chose, surtout que le fichier est très bien commenté, mais les gros débutants n’ayant aucune experience de code, n’aiment pas la plupart du temps mettre la main dans des fichiers bizarres.
Sur ce point, j’appuie DotClear qui demande toutes les informations par des formulaires. Ce n’est pas une grosse différence mais croyez moi, ça déroute moins les débutants en informatique.
Dernier point, WordPress a la bonne idée dès la première page de l’installation de vous proposer un read-me que vous pourrez garder à coté. Je trouve cette idée très bonne. Elle devrait être reprise dans DotClear.

Premiers Instants : Découverte

On débarque dans une interface en anglais. Je précise car bien que cela ne me pose aucun problème, ce n’est pas le cas de tout le monde.
Pour changer la langue de WordPress vous devrez récuperer un fichier de langue, l’installer dans un dossier, et ensuite indiquer la langue dans le fichier wp-config.php.
Je ne critiquerai pas la méthode car c’est souvent comme ça avec les applis web. Par contre sachez que DotClear demande votre langue de préférence entre l’Anglais et le Français lors de l’installation (je crois qu’il y a maintenant des langues en plus, à vérifier).
Une fois la barrière de la langue passée, on se rend compte que l’on se trouve sur une page d’information. Les dernièrs billets du DevBlog et de WordPress Planet sont affichés. Bonne chose, le lien avec la communauté est assuré dans le blog, et vous serez prévenu de la sortie d’une nouvelle version, de la découverte d’une faille ou de la dernière astuce à la mode.

Ensuite vous avez la page Write, qui comme son nom l’indique, permet d’écrire un billet. WordPress n’utilise que le XHTML pour la mise en forme du billet. Pour rappel DotClear propose XHTML et wiki.
Parmi les petites options sympa que l’on peut trouver chez WordPress… Lookup vous permet en selectionnant un mot et en cliquant sur le bouton, de vérifier le mot sur answers.com. (cela ne marche que pour l’anglais)
La petite option Close tags, semblent fermer les tags intelligemment.

WordPress, permet dès l’écriture du billet de mettre des Trackbacks (ça évite plusieurs clics comme sous DotClear…) et il gère les multicatégories (un plug-in comble cette absence chez DotClear mais pas parfaitement).
En édition avancée, vous pourrez mettre un mot de passe à votre billet (WordPress permet des systèmes de restrictions très poussés). D’autres options sont aussi disponibles, elles ont l’air bien sympa, mais je ne vois pas trop à quoi elles servent. Il faudrait se renseigner sur le Wiki (je ne fais qu’un premier aperçu).
Toujours dans Write, vous pouvez écrire des pages annexes très simplement (en fait comme pour les billets). C’est séduisant, même si on connait le très bon plugin de DotClear : Related, qui demande par contre de mettre les mains dans le camboui.

Viens ensuite Manage. C’est ici que vous gérez vos billets, pages annexes, les commentaires, les commentaires en attente de modération (il vous est possible de demander à ce que chaque commentaire posté reçoive d’abord votre accord avant d’apparaitre sur votre blog). Le système de modération de commentaire à l’air plus poussé que dans DotClear. Et enfin, dans Manage, vous pourrez gerer vos fichiers. Non pas les fichiers que vous mettez en lien sur votre blog ou je ne sais quoi, mais vos fichier : index.php, .htaccess, et le fichier de hack.
J’ai été supris en voyant ça, mais cela peut être utile de pouvoir gerer ses fichiers depuis n’importe où grâce à l’interface du blog.

Links, vous permettra, non pas de jouer à Zelda, mais de gérer votre blogroll. Pas de belles interfaces à la Javascript comme dans DotClear pour vite modifier l’ordre des liens, mais pleins d’options (et même poussées par exemple sur la présentation de la liste de liens). Il vous est aussi possible d’importer un fichier OPML.

Presentation, vous servira pour les thèmes. Vous choississez donc le thème qui doit être actif, après l’avoir uploader sur votre serveur. Et non, pas de super système d’installation super simple à la DotClear (il suffit de mettre un lien dans un formulaire et c’est fini).
Il vous est par contre possible d’éditer n’importe quel fichier, de n’importe quel thème depuis l’interface de votre blog (comme pour tout à l’heure).

Plug-ins est exactement comme Presentation, mais transposé pour les plug-ins. Il vous est donc encore une fois possible de tout éditer (je n’avais pas encore préciser, mais il faut bien-sûr que le Chmod vous le permette)

Users vous permettra de rentrer différentes informations sur votre compte (un peu comme sur un forum). Vous pourrez aussi créer différents utilisateurs, mais il me semble que cela ne soit possible que pour l’administrateur. J’en profite pour préciser que WordPress à une gestion des users très bien pensée. Il y a plusieurs niveaux. Un niveau 0 est un nouveau utilisateur ne pouvant rien faire (sauf changement dans les options), à partir du niveau 1, il est possible pour l’utilisateur d’écrire, de modifier et de supprimer ses billets. Au niveau 2 en plus de pouvoir gérer ses billets, il aura en plus la possibilité de gérer ceux des utilisateurs de niveau 1 et 0. Ce système marche jusqu’à l’utilisateur de niveau 5 ou + qui est lui administrateur. (Voila pour les grandes lignes, on doit pouvoir trouver plus de subtilités en fouillant au fil des jours et des besoins)

Et pour finir, viennent les options que je ne décrirais pas, mais qui restent complètent comme l’ensemble du système de gestion du blog.

La communauté

Un point important, une communauté peut donner des ailes un logiciel.
WordPress en étant internationnal, l’a. Le forum sur le site officiel, les nombreux sites de plug-ins et sites de thèmes, le wiki… Je ne vois rien à redire.
DotClear a aussi sa communauté, mais moins bien developpé. Le wiki n’est que trop peu exploité pour en faire une vraie documentation. Le forum est par contre super actif et aide beaucoup les débutants. Mais l’utilisateur se retrouvent parfois à devoir fouiller le forum, le wiki et le petit dotclear illustré pour trouver une information. C’est dommage. (mais il y a peut être le même problème chez WordPress)

Conclusion

On a donc deux très bons outils, qui méritent leur notoriété. Cependant par leurs différences, ils ne rentrent pas vraiment en compétition.
DotClear est très bien pour les débutants en informatique ou pour ceux qui ne veulent pas se prendre la tête. Sa communauté francophone très active pourra vous aider en cas de problème. Le grand nombre de plug-in et de thème devrait vous permettre de trouver votre bonheur. Mais garder aussi à l’esprit que DotClear bien qu’étant facile à prendre en main reste très puissant. Et les prochaines versions reservent plein de bonnes suprises (à en croire les teasers).
WordPress vous permettra d’aller plus loin dans la gestion de votre blog (peut être pas en triturant le code, je n’ai pas les connaissances php nécessaires pour l’évaluer sur ce point). Son énorme communauté et son ancienneté sont des gages de qualités (ce n’est pas toujours vrai mais dans ce cas là, on peut l’admettre). Par contre il vaut mieux que vous ayez une bonne connaissance de l’anglais pour en profiter à fond (interface et communauté).

Personnellement cet essai de WordPress m’a donné envie de m’amuser avec.

Si vous avez des questions ou que vous voulez donnez votre avis sur un de ces deux systèmes de gestion de blogs, les commentaires n’attendent que vous.

Rajout du 27/11/2005 :
Afin de complèter ce billet, j’ai écris un nouveau billet, qui décrit les différences entre WordPress et DotClear.

Metro, Boulot, puis gros Dodo

La routine commence à rentrer. 45min pour aller à mon IUT. Cela reste correct. Le plus chiant étant de marcher une quinzaine de minutes vers ma mairie pour prendre le premier bus. Ensuite cela ne me gêne pas trop de passer du temps dans un bus. On a le temps d’observer les gens, le paysage, les conducteurs de voitures qui ne savent pas conduire… Et de sortir le lecteur MP3 pour écouter quelque chose.
En ce moment Jimi Hendrix a toute mon attention. En particulier son Live at Winterland avec sa version de Hey Joe a tombé par terre.

Mais bon le matin, j’aimerais écouter quelque chose qui me fasse émerger intellectuellement. Alors je me suis dit que les podcasts seraient une bonne solution. Comme ça du Japon m’avait déjà séduit avec son podcast, mais je ne connais pas grand chose d’autre. Surtout qu’il me semble que c’est toujours en train d’apparaître en France malgré le boost qu’a pu donner iTunes 4.9. Si vous avez quelques podcasts à me conseiller, n’hésitez pas. Je suis un peu perdu là. Je sens que je vais devoir écouter tout ce qui passera sous ma souris afin de me faire une petite sélection.

Perle SRC

Premier cours, première perle, une dizaine de minutes après le début. Je rapelle que je suis en DUT Services et Réseaux de Communication à l’IUT de Cergy Pointoise. On nous forme en grande partie pour que l’on puisse travailler avec Internet (réseaux, développement PHP, créations web etc…).
Bref mon prof en plein cours d’Algorithme (où pour le moment il se contentait d’expliquer le fonctionnement des ordinateurs) nous sort lors d’une parenthèse :

Internet n’existait pas en 98.

Oh mon Dieu! Mais j’étais connecté à quoi alors en 98? Et Beners-Lee qui a inventé l’HTML en 1989? Et l’ARPANET? Tout ça ne serait qu’un grand complot des chinois du FBI?

Je rigole. Mais ça fait pas sérieux quand même… J’ai du me retenir dans l’amphi de rigoler et de dire tout fort : N’importe quoi!